Blanche écume qui danse, insouciante, un ballet sans fin, murmurant des mers lointaines aux parfums de femmes où des îles d’argent dorment au soleil et où des marins épuisés viennent s’échouer, à la tombée de la nuit, loin de leurs regrets.
Et le bleu du ciel, berger impassible, ne peut rien faire d’autre, qu’attendre patiemment le réveil des étoiles, pour se reposer quelques heures, en écoutant chanter le vent.
Branca espuma que dança, descuidada, um balé sem fim sussurrando mares longínquos aos perfumes de mulher, onde ilhas de prata dormem ao sol e aonde marinheiros exaustos vêm encalhar ao cair da noite, longe dos próprios remorsos.
E o azul do céu, pastor imperturbável, nada mais pode fazer, que esperar pacientemente o acordar das estrelas, para adormecer algumas horas, ouvindo cantar o vento.
alr © 2012
La mer, les vagues, comme j’aimerai vivre au brd de l’eau !
« …viennent s’échouer loin de leurs regrets ». Superbe.
Hasta pronto alr, un besito.
Ce vert et ce bleu pour la même mer.